Par : Ahmed Lahlimi Alami, Haut Commissaire au Plan du Maroc
Permettez-moi en premier lieu d’exprimer ma gratitude au Gouvernement de la République de l’Inde et mes vifs remerciements à l’OCDE pour leur invitation qui me permet, aujourd’hui, de me retrouver dans ce grand pays dont l’humanité doit tant à la richesse de sa civilisation, à l’humanisme de sa culture et à son rôle dans la prospérité et la paix dans le monde. Je mesure le privilège qui m’échoit à cette occasion autant que la difficulté de la tâche qui m’incombe de rendre compte des travaux de la conférence africaine sur la mesure du bien-être et du progrès des sociétés.Cette conférence qui s’est tenue à Rabat du 19 au 21 avril 2012 a été, comme vous le savez, co-organsée par le Haut-commissariat au Plan et le Centre de Développement de l’OCDE en étroite collaboration avec le Partenariat statistique au service du développement à l'aube du 21e siècle (PARIS21), la Banque Africaine de Développement (BAD) et la Commission Economique pour l'Afrique des Nations Unies (CEA).
La participation à cette conférence d’éminents experts et responsables économistes, statisticiens et acteurs de la société civile, de différents pays africains, a donné, comme on pouvait s’y attendre, une richesse particulière à ses débats et à ses conclusions.
M. Ahmed Lahlimi Alami |
La participation à cette conférence d’éminents experts et responsables économistes, statisticiens et acteurs de la société civile, de différents pays africains, a donné, comme on pouvait s’y attendre, une richesse particulière à ses débats et à ses conclusions.