Par : Khalid Soudi, HCP
Télécharger le document complet :
http://www.hcp.ma/docs/wikiprogressafrica/insea_cinquentenaire.pdf
Les questions relatives à la mesure du bien-être sont aujourd’hui au coeur des débats multidisciplinaires, et figurent au premier plan des priorités internationales dans le domaine des statistiques, non seulement en raison de leur pertinence dans la promotion de la qualité de vie et de l’équité sociale mais également dans une perspective plus large de politiques économiques de lutte contre les inégalités aussi bien subjectives qu’objectives.
l’analyse multidimensionnelle du bien-être permettrait d’introduire une plus value dans la compréhension de la situation des ménages, la répartition des richesses et les inégalités, la qualité de la vie, et la soutenabilité de l’organisation sociale. Tels objectifs ne pourraient être atteints que partiellement au moyen des indicateurs statistiques classiques.
Dans ce cadre, la commission Stiglitz (2009) a souligné l’incapacité des instruments de mesure des performances économiques à évaluer pertinemment le bien-être sociétal. Le rapport de la commission notifie que la croissance mesurée par le PNB ou le PIB ne pourrait rendre compte « des impacts qu’elle apporte aux conditions humaines ».
Le PIB ne saisit pas ce qui accompagne la vie quotidienne comme la santé, l'éducation, la qualité de la vie et l'environnement (la déforestation, la qualité de l'air, la pollution..). En d’autres termes, cet indicateur comptable n’est pas en mesure de traduire la situation du bien-être de la population dans ses différentes dimensions, notamment, économique, sociale et environnementale.
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Les questions relatives à la mesure du bien-être sont aujourd’hui au coeur des débats multidisciplinaires, et figurent au premier plan des priorités internationales dans le domaine des statistiques, non seulement en raison de leur pertinence dans la promotion de la qualité de vie et de l’équité sociale mais également dans une perspective plus large de politiques économiques de lutte contre les inégalités aussi bien subjectives qu’objectives.
l’analyse multidimensionnelle du bien-être permettrait d’introduire une plus value dans la compréhension de la situation des ménages, la répartition des richesses et les inégalités, la qualité de la vie, et la soutenabilité de l’organisation sociale. Tels objectifs ne pourraient être atteints que partiellement au moyen des indicateurs statistiques classiques.
Dans ce cadre, la commission Stiglitz (2009) a souligné l’incapacité des instruments de mesure des performances économiques à évaluer pertinemment le bien-être sociétal. Le rapport de la commission notifie que la croissance mesurée par le PNB ou le PIB ne pourrait rendre compte « des impacts qu’elle apporte aux conditions humaines ».
Le PIB ne saisit pas ce qui accompagne la vie quotidienne comme la santé, l'éducation, la qualité de la vie et l'environnement (la déforestation, la qualité de l'air, la pollution..). En d’autres termes, cet indicateur comptable n’est pas en mesure de traduire la situation du bien-être de la population dans ses différentes dimensions, notamment, économique, sociale et environnementale.
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